Lola R. Jenkins Administratrice
Messages : 19 Points : 29 Date d'inscription : 11/09/2011
Feuille de personnage Couleur Primaire: Orange Couleur secondaire: Bleu Message perso:
| Sujet: Lola Riley Jenkins ♥ Mar 1 Nov - 18:47 | |
| Comment avez vous connu le forum ? : La belle Zi'nia m'a fait part de son idée et je suis administratrice Code du règlement : À Déterminer. Nom complet du personnage : Lola Riley Jenkins Age du personnage : 17 ans (Age du posteur : 16 ans ) De quel contexte vient-il ? L'Angleterre en 1978. Voldemort et Grindelwald sont en conflit. Tandis que deux camp se forment entre les sorciers du monde, une nouvelle élève un peu louche fait son entrée à Poudlard... Cache-t-elle quelque chose ? Pourquoi avoir choisi ce personnage ? Parce que c'est un personnage que j'aime beaucoup, qui n'est pas très ancien et que je n'ai pas pu jouer longtemps. J'adorais ce forum en plus ! Ses trois principales qualités : Déterminée, intelligente, réservée Ses deux principaux défauts : Perfectionniste, méfiante à la limite de la peur Son plus grand rêve : Être riche Sa devise : Be as you are. Si ton personnage était (+ explication) : - Une couleur : Bleu, car elle est une ancienne serdaigle et la couleur de la maison représente la personnalité de quelqu'un alors ça la représente bien. - Une saison : L'hiver, car elle adore avoir froid pour pouvoir s'habiller chaudement et elle aime bien aller passer Noel avec ses frères et soeurs. - Une planète : Vénus, car vénus n'a pas de champ magnétique et Lola n'attire pas facilement les gens. Et on est qu'on la voit bien à l'oeil nu. Elle attire les regards, mais pas pour la bonne raison. - Un élément chimique : Soufre. Tout simplement parce qu'elle a toujours été victime de plusieurs malchances. - Un signe du zodiac : Gémeaux, car elle a l'humeur changeante. Ancienne fiche :- Spoiler:
Physique Je suis une personne qu'on peut qualifier de beauté naturelle. Mes longs cheveux bruns foncés et mes yeux bruns me donnent l'air coquine. J'ai très souvent, pour ne pas dire toujours le sourire aux lèvres et une démarche légère et joyeuse. J'ai un visage plutôt rond, mais un menton plus pointu un peu. Grande pour mon âge, je n'ai pas la maladresse que les grandes personnes ont souvent et je suis quand même habile. Je pourrais être mannequin... Je n'y avais jamais pensé. J'ai aussi un petit nez fin et une peau douce et parfaite, en général. J'ai un corps bien proportionné et la peau blanche, mais mes rouges rosissent quand je suis gênée et je mets souvent du maquillage pour la foncir davantage. Pour finir, durant n'importe quelle saison, j'ai la peau froide même en ayant chaud et mes pieds sont constamment glacés.
Caractère La première chose que toute personne doit savoir à mon sujet est que mon humeur est changeante. Pas que je suis un visage à deux faces ou que ma personnalité change selon les gens avec qui je suis. Non, c'est juste que mon humeur change selon si je suis avec telle ou telle personne. Il faut tenir compte aussi de comment la personne agit avec moi. Je peux être froide et méchante quand on me provoque. Après tout, un jeu ça se joue à deux ! Mais j'ai un assez bon caractère, alors généralement, je m'entend bien avec les gens. Je suis sociable, mais un peu réservée. On me reproche souvent d'être trop curieuse. Je pose des questions trop directes ou trop indiscrètes, mais c'est plus fort que moi. J'adore les petites attentions et les contes de fées. Je suis brillante et logique. Je suis bonne à l'école, même si je n'aime pas particulièrement ça, mais je travaille toujours le temps qu'il faut pour faire de bons travaux. Et je mets beaucoup d'efforts dans mes études. Je les fait toujours au complet et à la perfection. Je finis toujours ce que je commence et je plonge à fond dans mes projets. Sinon, en amour et en amitié, j'aime bien flirter et vivre des aventures, mais en restant prudente pour ne pas m'attacher trop vite et avoir le coeur brisé.
Histoire Je suis née d'un sorcier britannique et d'une moldue française. Ne me demandez pas comment ils se sont connus, moi-même je ne leur ai jamais demandé. Ma mère me donna naissance dans notre petite maison de Grande-Bretagne. Et oui, depuis maintenant plusieurs générations, ma famille est pauvre, mais ça ne m'empêcha pas d'avoir une enfance joyeuse. Mes frères et soeurs et moi n'étions pas gâtés à cause du peu d'argent que mon père faisait avec son poste au ministère de la magie, mais nos parents nous aimaient énormément. Je me suis toujours bien entendue avec elle, d'ailleurs. J'étais mince et pas très en santé étant donné que je mangeais seulement quand il y avait assez à manger pour tout le monde, c'est-à-dire, pas souvent. Étant donné que j'étais la plus vieille de la lignée, je devais me sacrifier. Je laissais ma part aux autres et je portais toujours les vieux vêtements. Vous devinerez bien que c'est moi qui faisait le plus pitié dans cette famille.
Vous devez sûrement trouver ça bizarre qu'on ait si peu d'argent en étant sorcier, mais étant donné que ma mère est moldue et mon père pauvre, il obtint un travail peu payant et avec de mauvaises conditions. Ça n'arrangeait pas les choses. Je n'ai aucune idée pourquoi ma famille est pauvre et on a jamais voulu me le dire.
À l'école moldue, j'étais rejetée de tous, évidemment. Vous connaissez ces moldus ! Ils ne ratent jamais une occasion de rire des gens différents. À leurs yeux je n'étais que la faible toute en loques que personne n'aimait et dont tout le monde riait. Comme si j'étais contagieuse, comme si je n'avais pas de qualités. Parfois, j'avais l'impression d'être un monstre. Je n'avais qu'un seule amie. Amie, c'est un bien grand mot, mais c'est la seule personne qui me parlait et qui mettait de côté l'image que les autres avaient de moi. Elle me consolait quand j'avais de la peine, déjeunait avec moi, mais rien de plus. Elle ne savait rien sur ma vie, sinon que j'étais pauvre, et moi rien de la sienne.
Un jour, alors qu'une bande de jeunes garçons m'agaçaient et que je trouvai que s'en était assez, même avant d'avoir dit ou fait quelque chose, il se produisit un événement bizarre. Un des garçons voulut me parler, mais aucun son ne sortit de sa bouche et ses poignets étaient ligotés ensemble. Puis, le verre qu'un autre des garçons tenait éclata en morceaux. Je ne savais pas ce qui se passait. On aurait dit que c'est moi qui avais causé ça, mais pourtant je n'avais pas bouger encore. Quand mon amie vit ça, elle s'en alla et ne m'adressa plus jamais la parole. Je ne réussis jamais à comprendre ce qui s'était produit. Quelques autres événements similaires eurent lieu depuis ce temps.
Quelques années plus tard, vint ma fête de 11 ans. Ma fête miraculeuse. L’évènement qui me sortit de mon enfer. Je reçus une lettre d'une soi-disant école de sorcellerie Poudlard. Je ne compris pas dès le début. Je croyais que c'était une plaisanterie ou alors, cette lettre n'était pas adressée à la bonne personne... Quand je demandai à ma mère ce que tout ça voulait dire, elle m’annonça que j'étais une sorcière. J'avais enfin trouver la raison de mes agissements bizarres. La réaction que j'eus face à cette annonce fut si grande que tous mes frères et soeurs furent jaloux de moi. J'étais fière et je me sentais même spéciale pour la première fois de ma vie. J'étais autre chose que pauvre, mais ça me rendrait tout autant monstrueuse aux yeus des moldus. Mais qui dit qu'ils le sauraient ? Mes parent voulaient me faire la surprise et ne pas m'en parler avant que je reçoive la lettre. Ils voulaient que je me questionne sur ce qui se passait avec moi pour être capable de mieux prendre conscience de ce que j'étais. Pour une surprise, c'était toute une surprise !
Peu de semaines après, mon père entra chez les mangemorts. Tout ça s'est passé si vite. J'ai été mis devant le fait accompli. Je vous annonce ça comme sa, mais je ne suis même pas sûre d'être moi-même au courant de tout. Je vous livre ça tout banalement, alors que c'est une important et que ça va peut-être changer ma vie. La seule raison qu'il a donné à ma mère est que une fois à Poudlard, je serais en sécurité et que dans ce monde de fous, valait mieux être du côté des méchants que du côté des bons si on tenait à la vie. Au moins, il a une bonne raison. Vraiment pas !
Désormais, tout le monde allait recommencer à me juger, mais pour une raison différente. Mais je ne leur dirai pas. Je ne leur donnerai pas une bonne raison de me faire revivre mes pires cauchemars. Je n'ai pas envie d'avoir un mangemort comme père. Et je ne voulais pas qu'ils essaient de me mettre de leur bord également. Je ne céderai jamais. Et je vais couper les ponts avec mon père, pour l'instant. Jusqu'à ce que j'aie la preuve qu'il ne me veut pas de mal. Je vais essayer de le faire changer d'avis, aussi. Je me demande comment ça va être à la maison une fois que je serai partie... Mon père ne sera sûrement plus très présent et ma mère devra s'occuper des jeunes toute seule. Je lui enverrai des lettres à tous les mois pour la soutenir moralement et j'irai passer mes vacances à la maison pour l'aider.
Mais là, je vais me coucher. Je vais sur le chemin de traverse chercher mes articles d'école, tôt demain. Bonne nuit xxx Un RP dont vous êtes fier (avec ce perso ou un autre) :- Spoiler:
J'étais coincée. Prise entre le bureau et le poufsouffle, je pouvais à peine bouger. Impossible de m'enfuir, il me retiendrait. Il n'y avait aucune issue. Il me chuchota qu'il ne voulait pas me punir. Sa bouche était si près de mon oreille que j'en eus des frissons. Je détestait qu'on me chuchote à l'oreille. C'était désagréable. Cette sensation de sentir ses lèvres et son souffle me chatouiller me stressait et me rendait impatiente. Il prenait tout son temps. Il n'avait rien de mieux à faire ? Ça devait bien lui plaire de faire durer le suspense ainsi. Il me prit la main, me dit de me détendre, mais ça ne fit qu'augmenter la tension en moi. Je ne pouvais pas être détendue alors que je ne savais pas ce qu'il allait faire de moi. Je n'avais pas peur. J'appelais plus ça de l'insécurité. Il était très près de moi. Trop à mon goût. L'heure avançait. La nuit ne tarderait pas. C'était de plus en plus sombre dehors, mais ça ne m'empêchais pas de distinguer son ombre et ses gestes. Il me demanda de me dévêtir. Non, jamais de la vie je ne me déshabillerais devant ce garçon à qui je n'avais jamais vraiment parler avant aujourd'hui, quoique plutôt poli et qui semblait vouloir me respecter à une certaine limite, même s'il venait de me demander d’enlever mes vêtements. Je pensais qu'il voulait me punir, mais dans le fond il ne voulait que se rincer l'oeil... J'aurais dû refuser, mais je n'en fis rien. Je me contenterais de le penser. Pour mon bien, j'allais éliminer de mes pensées tout refus d'obéir. Puis, il se mit à défaire mon chemisier. Non, mais ! Je le laissais me déshabiller alors que je le connaissais à peine et qu'en plus c'était contre ma volonté. Si mes parents voyaient ça ils en seraient dégoûtés. Tout d'abord, un homme qui ne faisait pas partie de ma vie, avec qui je n'étais même pas en relation et qui en plus s'apprêtait à me faire je ne sais trop quoi. Je dû me retenir de toutes mes forces pour ne pas le repousser. Je n'aurais qu'empirer la situation. Un seul bouton me cachait encore un tout petit peu de lui. Il tira sur ma jupe avant de faire apparaître une longue corde entre ses mains. Sa main sur mon bras commençait à me faire mal. J'attendis qu'il agisse, un tout petit peu curieuse de découvrir ses plans même si je ne l'avouerais jamais.
Je suivais les cordes des yeux. Je les regardais m'enlacer. C'était donc ça qu'il voulait. Me séquestrer. J'avais l'impression d'être la poupée qu'un enfant s'amuserait à faire souffrir. Mais comparativement à la poupée, j'étais vivante et je ressentais la douleur. L'enfant pourrait quand même me torturer comme il voulait. Ont peut dire que ma séquestration commençait bien. Je n'arrivais plus à bouger du tout le haut de mon corps. Il ne voulait pas que je parte, il s'était arrangé pour. Pas de chance ! Ma baguette était aussi inaccessible. Je ne pourrais rien tenter. Il avait fait ça avec délicatesse et efficacité. C'était plutôt serré ! Il m'entraîna ailleurs dans la pièce en me disant de le suivre. Avais-je le choix, d'ailleurs ? La réponse était négative. Il pouvait faire ce qu'il voulait de moi. J'étais sous son emprise.
Il ne restait qu'une chaise où j'étais et je m'y assis comme il me l'avait fait savoir en me la pointant. Il me dit que si j'avais faim ou soif, j'avais qu'à le demander. J'aimais mieux crever de faim. Ça lui aurait surement fait plaisir de s'en servir contre moi. De m'en mettre partout dans le visage ou n'importe où. J'étais assez ridicule comme ça. Et comme si je méritais d'être ligotée ainsi pour avoir écouté une simple conversation. Sa main sur mon décolleté... Je le regardai avec des yeux noirs. Il n'en avait pas assez des cordes il fallait en plus qu'il me regarde les seins. C'est vrai que c'est tellement plus plaisant le chemisier détaché ! Il enserra ma poitrine avec une nouvelle corde. Mes seins relevaient. Ce n'était pas confortable du tout. J'avais du mal à respirer. Puis, il m'attacha à une chaise. Je soupirai.
Tu es vraiment obligé de m'attacher De Rothschild ? Ont aurait pas pu juste s'engueuler comme des gens normaux feraient ? Il fallait que tu m'attaches... T'es vraiment cinglé Louis ! Grandir dans un hôpital de fou a eu des effets sur toi à ce que je peux voir !
J'avais entendu dire que les De Rothschild avaient été élevés dans un hôpital psychiatrique. Je ne savais pas si c'était vrai, mais je m'essayai quand même. Il pouvait bien rire le petit garçon. J'avais des armes contre lui moi aussi. Et je ne me gênerais pas pour m'en servir. Je n'avais pas beaucoup parlé depuis que je m'étais laissée entraîner dans cette salle, mais je n'hésiterais pas à lui dire ce que je pensais et qui sait, je pourrais même aller jusqu'à le faire chanter...
D'ailleurs, t'es vraiment obligé de me mater ainsi ? De toute façon, c'est pas comme si ça te faisait du bien pour vrai... Je sais qui tu es Louis, tu ne peux pas le nier !
La méchante en moi commençais à sortir et à défaut de me défendre avec des gestes, j'utiliserais la méchanceté verbale. Ou du moins, le plus de méchanceté que j'étais capable d'exprimer, moi, Lola, petite fille habituellement sage que les gens dévisagent sur leur passage ou s'enfuient à son approche. Mais au fond, j'étais capable d'être méchante et froide quand je le voulais. Quand on me provoque, je finis pas éclater et j'attaque. Et ont peut dire que mon passé m'a un peu endurcie aussi.
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